





extrapole en quelques mots :
Actualités
Pourquoi Agencements ? Pourquoi une revue papier en Sciences Sociales ? A quelle envie répond la revue ?
Agencements entend questionner la diversité des expérimentations engagées aujourd’hui dans la société, dans un rapport critique envers les logiques dominantes, que ces expérimentations concernent les champs de l’art, de la politique, du social, de l’architecture ou du soin, et l’énumération pourrait se prolonger. Agencements souhaite donc contribuer au renouveau de l’engagement critique en s’intéressant aux initiatives que prennent des militantes ou des professionnelles pour faire advenir de nouvelles formes de vie et d’activité, plus égalitaires, autonomes et collectives. Ces expérimentations impliquent des pratiques de co-création et de coopération; elles expriment un pouvoir d’agir citoyen développé au plus près des réalités de vie. Elles voient le jour sur une diversité de terrains : à l’occasion d’occupations (friches, ZAD), dans le cadre de communautés de pratiques et d’expériences (des espaces où l’expérience des usager-es, des malades ou encore des habitant-es se partage), sur un plan aussi bien matériel (coopératives, jardins communs, circuits courts...) qu’immatériel (logiciel libre, savoirs collaboratifs, pédagogies alternatives...). Elles traduisent une forte volonté de faire commun et de créer des communs/du commun aussi bien dans les territoires de vie, sur les lieux de travail que dans l’espace du Net. »
extrapole rejoint l’équipe de la revue agencement qui vient de publier son septième numéro !

EDITIONS DU COMMUN -
assure les tâches de maquettage, d’impression, de relation avec les distributeurs et les librairie et le suivi.
Plus d'info
https://www.editionsducommun.org/
.

Agencements est une revue en Sciences sociales faite EN COMMUN par des chercheurs en sciences humaines et sociales. Ce qu’ils en disent :
« Il y a différentes manières de trouver sa place dans la revue. »
« La revue comme un outil pour faire ensemble. Pour le plaisir de l’échange à l’occasion du travail sur les articles notamment. » « La revue comme outil d’intervention – faire venir des articles sur des réalités qui n’apparaîtraient pas sans la revue. »
« La revue comme école mutuelle pour apprendre collectivement les écritures, les lectures.
Un objet papier qui compte et qui fait différence dans nos mondes. »
restitution d'enquête
En mars 2017 Agnès Henry (extrapole) conduit, en collaboration avec Emmannuelle Segura, une enquête sur l'évolution de l'action artistique et culturelle, en prenant comme terrain d'observation trois institutions grenobloises : le CCN2, le Magasin des horizons, et le CDC Le pacifique.
En juillet 2018, dans le cadre de cette enquête, les institutions adoptent le nom de Trilogie.
En octobre 2018, l'autrice Emilie Notéris est invitée à produire une fiction à partir de cette enquête.
En 2021, paraît Le nœud de Prusik.

Le nœud de Prusik verso et reverso
4 ème de couverture :
« Face à la possibilité du surgissement des possibles, les Institutions artistiques doivent faire face à la présence structurelle de l’impossible.
Les Institutions artistiques devraient
être habilitées à faire face au surgissement
de l’impossible. »
Émilie Notéris est une
travailleuse du texte, dans
le sens qu’elle a mis au
travail ce texte, au service
des institutions artistiques
qui l’ont contactée et
lui ont fait la proposition
d’écrire, à partir de leurs
expériences de travail et de
la mise en commun de
leurs compétences et désirs.